Ouça músicas e podcasts GRÁTIS no Amazon Music. Sem necessidade de cartão de crédito.Ouça grátis 1Origines physiques des phénomènes : début du livre premier (Introduction 1ère partie)
2345Premier principe : rien ne naît de rien
6Deuxième principe : rien ne se perd, rien ne sombre au néant
7Troisième principe : tout se transforme
8Quatrième principe : l'atome
9Sixième principe : corps et vide forment la substance des choses
10Nulle tierce substance en la nature
11De la matiere ou du vide tout est le propre ou l'accident
1213L'obscure clarté : éloge du poème
14Chant deuxième : les mouvements de la matière
15De la bonne santé de la chair
1617181920Et le libre mouvement des vivants
21Car sans diversité point d'identité
22Le premier symbole en est la terre
23L'être bienheureux et incorruptible
2425Hymne à epicure : sa leçon est le souverain remède contre la peur et la mort
26Ame et esprit sont en étroite union
27Des sens de l'âme et de l'esprit
28Péroraison la mort n'est rien pour nous
29Vanité du divertissement, connaissons-nous nous mêmes
303132L'erreur vient de l'esprit non des sens
333435L'inventeur de la sagesse servit mieux les hommes que ceres, liber ou hercule
3637Magnitude, mouvement et origine du soleil et de la lune
38394041Création des villes, apparition de l'inégalité
4243Eloge d'athènes, patrie d'epicure
444546474849505152Introduction : qui est bernard combeaud ?
53La rigueur métrique pour une traduction de lucrèce
54Le rythme participant direct de la pensée
55Les rapports de lucrèce et d'epicure
5657Lucrèce : un savant, un moraliste et un artiste
58Le clinamen : la dynamique des fluides comme modèle de monde
5960De natura rerum » : « la naissance des choses
61La dimension explosive de « de natura rerum
6263Lucrèce et la conviction matérialiste
64Un ouvrage adressé à memmius : lucrèce et l'absence de l'amitié
65Lucrèce et l'absence de l'amitié
66Lucrèce et la relation amoureuse
67La place de l'homosexualité
68Lucrèce et l'absence de la politique
6970Les traductions antérieures de lucrèce
7172Lecture de « la peste » par bernard combeaud
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